La publicité préventive pour les jeunes
a) la prévention du coté des jeunes
Les campagnes de prévention montrent ce qu'il pourrait se passer si les comportements abusifs n'étaient pas modifiés.
Les spots de prévention font partie d'une nouvelle forme de publicité appelé le shockvertising qui veux dire choc et publicité cette technique est basée sur la provocation et par celle ci veux faire changer le comportement ou faire naître une réflexion chez le public visé.
Nous allons voir cela en prenant l'exemple des adultes et des enfants.
- les dangers d'internet sur les enfants :
Dans cette publicité on peux voir des hommes armés, des femmes dénudées et un homme étrange toqué à la porte d'un petit garçon. La mère du garçon en ouvrant la porte les dirigent vers la chambre de son fils sans se douter de quoi que ce soit alors que nous voyons bien que ces personnes sont dangereuses pour un enfant. Ceci montre bien que derrière un utilisateur on ne sait pas qui se cache vraiment.
Dans la deuxième publicité, c'est une campagne contre la pratique excessive des jeux vidéos Ici les différents point de vue d'une famille sont représentes En effet l'adolescent se prend pour un héros dans son jeux alors qu'en réalité ses parents et ses amis le voit autrement. Les personnes atteintes d'addiction doivent en parler car cela devient une véritable maladie, une vrai dépendance.
Le Web est devenu ces dernières années le canal d’informations le plus utilisé par les jeunes. Ils sont de plus en plus nombreux à posséder un smartphone ou une tablette et accèdent à Internet quel que soit l’endroit où ils se trouvent. La mobilité empêche la vigilance des parents de s’exercer, alors même que des sites pour adultes, de jeux d'argent ou faisant l'apologie de la violence se multiplient, un mineur peut y accéder en toute simplicité en quelques clics.
- le harcèlement à l’école :
Cette publicité nous montres le harcèlement a l'école. En effet on peut voir un jeune homme qui à une plus forte corpulence que ses autres camarades. Après le cour de sport une photos prises montrant le corps de l'adolescent, cette photo circule en quelques clics. Car 1 enfant sur 10 est victime harcèlement a l’école et ce n'est pas "juste pour rigoler" Les mots font parfois plus mal que des coups.
- contre le djihadisme :
La première publicité stop Djihadisme est une forme qui confronte les idées divulguées par les djihadistes aux français On y trouve des images assez choquantes qui montre les réalités des messages que les djihadistes postent sur les réseaux sociaux pour endoctriner des personnes voulant combattre pour une cause qui n'est pas réelle.
Dans la deuxième vidéo on peut voir que des personnes banales est mis en action pour montrer que l’endoctrinement peut toucher tous le monde ( homme/femme) a n'importe qu'elle âge et n'importe qu'elle moment. Cela donne un message pour les parents mais aussi pour les amies lorsqu’ils voient un comportement différent du jours au lendemain. Car selon le Figaro depuis le 15 septembre 2016 il y avait :
● 1954 mineurs signalés comme radicalisés en France
● 121 % de hausse par rapport au recensement de janvier dernier
● 17 adolescents morts sous la bannière de Daech dans les zones de combat en Irak et en Syrie
● 37 mises en examen dans le cadre de procédures judiciaires liées au terrorisme
● Les jeunes filles sont désormais plus nombreuses à être radicalisées que les garçons
- maltraitance enfant :
Dans cette première publicité « Je suis une poupée » qui est un spot très marquant a cause de cette pauvre petite fille maltraitée qui reproduit les gestes qu'elle subit sur sa poupée. Cela nous montre comment les enfants peuvent reproduire les geste de leurs parents et comment cela peut perturbée un enfant.
Dans la deuxième publicité une gifle commis par une mère a son enfant et mis en avant avec un ralentit. On donc comprend bien que cela n'est pas seulement un geste anodin mais que c'est aussi une marque de maltraitance sur enfant. Ces publicité sont utiles car il existe aujourd’hui en France plus de 98 000 cas connus d’enfants en danger, c’est-à-dire 10% de plus qu’il y a dix ans.Parmi eux 19 000 sont victimes de maltraitance et 78 000 se trouvent dans des situations à risque
- pour la santé :
Dans la première publicité on peut voir des simples gestes peut prévenir d'une maladie. En faisant attention et avec des gestes simple on peut limiter le nombres de contamination. En période d'épidémie, un enfant sur trois est touché par la grippe, contre un adulte sur dix. En plus de complications parfois importantes, les plus jeunes jouent également un rôle important dans la dissémination du virus
Dans la deuxième publicité contre alcoolémie chez les jeunes. On peut voir un jeune adulte appeler Maya qui est perçu différemment selon les différents points de vue de sa dépendance a l'alcool. Cette publicité fait donc appelé a leurs bonne fois pour en parler a un spécialiste. Les usages d’alcool des jeunes diffèrent de ceux de leurs aînés, et les pratiques actuelles diffèrent de celles des générations précédentes. L’expérimentation d’une consommation pour rechercher l’ivresse se concentre entre 15 et 44 ans, et se révèle assez rare parmi les plus âgés, soulignant son développement relativement récent.
En près de dix ans, de 2005 à 2014, la part des 18-25 ans ayant connu une ivresse dans l’année est passé de 33% à 46%, et la part de ceux en ayant connu au moins trois a presque doublé.
La dernier pub a le même principes avec un adolescent qui consomme de la drogue. En effet on voit qu'il est perçu différent et cette pub appel a prendre un rendez vous. Au jours d'aujourd'hui ils sont trois fois plus nombreux à prendre de la coke. Parmi les 15-16 ans, ils figurent parmi les plus grands consommateurs d’ecstasy, cannabis, cocaïne, amphétamines en Europe.
Enfin dans la publicité pour le tabac le geste et assimiler a la liberté d'expression cela met en avant l'importance du choix du consommateur lorsqu'il prend une cigarette. L’industrie du tabac l’a compris depuis longtemps : « Les adolescents aujourd’hui sont les consommateurs réguliers potentiels de demain, et la très grande majorité des fumeurs commence à fumer à l’adolescence.» (Philip Morris, 1981).
On constate en effet que c’est à l’adolescence que la très grande majorité des fumeurs à long terme commence à fumer, avec un âge de la première cigarette situé en moyenne entre 11 et 12 ans, au moment de l’entrée au collège. Avec 40% de fumeurs réguliers chez les 16-25 ans, la France est très touchée par le problème du tabagisme des jeunes.
Ces publicités représentent donc bien, les nouveaux dangers de la société chez les jeunes.